Utilisation de la méthode des abaques

Capsule 09

Nous avons inscris au boulier 1, 2 et 3. Ces quantités sont perceptible immédiatement. En représentant les nombres avec les doigts, à partir de 4 l’enfant ne peut pas percevoir la quantité il est obligé de compter (1, 2 , 3 et 4). Le cerveau limite la perception immédiate à 3. Ainsi pour 4, comment fait-on ?

Capsule 08

Nous avons vu que les quantités jusqu’à trois sont innées et perceptibles immédiatement ; nous les avons représentées au boulier. Et pour quatre que disent les chiffres romains ? Ce sujet vous intéresse ? Suivez-nous !

Capsule 07

Le boulier est le prolongement des mains. Nous avons vu que notre cerveau est un peu feignant et qu’il peut reconstituer les 10 premiers nombres avec les seules quantités 1, 2 et 3. Au boulier, distinguons bien les quantités.

Capsule 06

Nos mains forment notre premier Abaque. Et le zéro ? Historiquement il n’est apparu qu’au début de notre ère après les autres chiffres. Mais les Mésopotamiens utilisaient cette notion depuis plusieurs millénaires.

Capsule 05

Nos mains forment notre premier Abaque.
Au boulier pour les enfants de moins de 7 ans, nous dirons perles ou doigts pour les unaires « espace de unaires » et perles ou mains pour les perles de l’ « espace des quinaires ».

Capsule 04

Après l’Égalité, et le Partage la troisième notion spontanée, faisant partie du socle inné que tout le monde possède est la base trois. Ce sont les quantités 1, 2 & 3 qui sont naturelles.

Capsule 03

La deuxième notion spontanée est le partage, il y a 300 000 ans on ne savait pas encore compter et le partage était approximatif. Alors comment faisait nos ancêtres pour compter ?